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SNECI soutient un fournisseur italien à conserver sa part de marché

SNECI Soutient Un Fournisseur Italien à Conserver Sa Part De Marché

SNECI a récemment fourni un support commercial à un fournisseur italien de tubes afin de reconquérir sa part de marché au sein du panel fournisseurs d’un grand constructeur.

La politique d’achat des constructeurs sur les pièces dites « commodités » est souvent axée sur la partie économique des offres. C’est donc généralement le fournisseur au panel le moins cher qui gagne la plus grande part de marché lorsque les marchés sont mis en concurrence. Par conséquent, il est essentiel de maintenir un suivi régulier avec l’acheteur et de faire une veille concurrentielle sur les prix des concurrents sur un marché aussi concurrentiel. Pour ce faire, chaque fournisseur de pièces d’automobile doit avoir un représentant commercial professionnel avec une connaissance approfondie de l’automobile afin d’optimiser les chances de gain du marché.

Dans le cadre de nos activités de business développement, nous soutenons fréquemment des fournisseurs internationaux pendant les appels d’offres. Les membres de notre équipe avec de fortes expériences techniques et commerciales assistent les clients dans leurs communications avec les constructeurs automobiles.

Tout récemment, nous avons accompagné un fournisseur italien de tubes dans ses négociations avec un constructeur européen majeur. En dépit d’un long historique de livraisons vers ce constructeur, le fournisseur voyait sa part de marché diminuer au profit de ses concurrents dont le prix par composant était inférieur.

« Nous avons mis en place avec le fournisseur un processus régulier de suivi de l’appel d’offre avec le constructeur », déclare Hervé Champion, directeur du Business Développement chez SNECI. « Le risque était d’être exclu du marché, et cela nous a permis de faire une meilleure dernière offre avant l’affectation finale du marché. »

SNECI a permis par ses actions d’arrêter la baisse de volume de production du fournisseur italien, dont la part de marché est revenue au niveau de 2015. « L’objectif n’est clairement pas de s’arrêter là, mais de passer numéro 1 au panel du constructeur en question », selon Hervé Champion.

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